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mardi 31 juillet 2018

Quel est l'impact de la technologie sur notre société actuelle?

La technologie comporte son lot d'avantages et apporte des éléments positifs à notre société. Cependant, à cela s'ajoutent des effets néfastes de ce phénomène.
Depuis 50 ans environ, ce domaine-là est en progrès. Nous ne parlons pas de la technologie seulement dans tout ce qui est électronique comme l'avancement des smartphones, des PC, ou encore des téléviseurs. Il existe effectivement bien d'autres domaines. Grâce aux progrès technologiques, la médecine a évolué par exemple. De nombreux autres points positifs sont là: la communication à l'étranger est facilitée, les courses en ligne permettent d'éviter les déplacements,... Il s'agit aussi d'un bon moyen de se divertir, ainsi que de faire les choses plus rapidement.


Néanmoins, ce domaine peut aussi être risqué car des gens n'en font pas toujours bon usage en utilisant ces évolutions de la mauvaise manière. Pour certains "accros", ce monde virtuel devient leur réalité. Ils peuvent y passer d'innombrables heures sans y voir les risques encourus et finissent par devenir de véritables esclaves de ces machines. La plupart des gens délaissent les connaissances contenues dans les livres pour aller se renseigner sur Internet, le problème étant que les sources n'y sont pas toujours fiables. Les jeunes lisent de moins en moins, utilisent tous la facilité et perdent l'intérêt à chercher les informations par le biais d'autres moyens que les journaux électroniques ou Wikipedia. Les tricheries en classe ne cessent d'augmenter à cause de la facilité à le faire de nos jours, les jeunes ayant accès à internet de leur téléphones, et pouvant communiquer avec leurs camarades par SMS.

De plus, les nouvelles technologies créent des inégalités dues à leurs coûts! Elles sont chères et ne peuvent donc pas viser tout le monde. Les progrès technologiques créent aussi des inégalités entre les pays, certains posséderont le pouvoir de détruire d'autres Etats grâce aux nouvelles armes, par exemple.
En conclusion, la technologie de nos jours peut être un atout, à condition de savoir s'en servir, de ne pas en abuser, et de savoir différencier le monde virtuel et le monde réel.

vendredi 27 juillet 2018

La différence entre audit interne et inspection

L’inspection

Une inspection se base généralement sur des questions fermées. Les réponses peuvent être « oui » ou « non ». Son rôle est d’évaluer en détail un produit ou un lieu de travail sur la base de critères spécifiques, d’esthétique… Pour cela, l’inspecteur a besoin d’un plan et d’une liste de points à vérifier (lors d’une inspection formelle uniquement).
Exemple d’inspection d’usine :
L’inspecteur évalue un immeuble. Cela inclut la vérification des extincteurs, des sorties de secours…
Exemple d’inspection de produit :
L’inspecteur évalue la qualité des produits fabriqués. Lors d’une inspection préalable à l’embarquement, l’inspecteur sélectionne des échantillons de production au hasard (selon la table AQL) ou contrôle la totalité du lot selon les exigences du client. Ensuite, il vérifie l’apparence des produits, leur conformité au cahier des charges du client puis termine par une série de tests.

L’audit

L’audit examine les procédés de l’usine ainsi que sa performance sur la base de standards et directives spécifiques. C’est comme faire une étude : la façon d’aborder le sujet est neutre. L’objectif est d’identifier le respect et non respect des spécifications, standards, accords contractuels ou autre.
Un audit est fait pour observer. Il inspecte les équipements et les procédés sur la base de ceux préalablement définis par écrit. Pour s’assurer que la réalité soit la continuité avec la « théorie » (procédés écrits) il est habituel d’interroger les employés.
Le retour le plus intéressant d’un audit est la liste des points non conformes (mineurs et majeurs). Cela permet de définir un plan d’action pour améliorer le système actuellement mis en place. Dans tous les cas, un audit peut être interne ou externe.
Exemple d’audit ISO 9001
Il se base sur le standard ISO 9001 et se concentre sur le système de gestion de la qualité du fournisseur: usine, entreprise de service, etc… L’auditeur vérifie les procédés documentés et les formulaires avec les procédés actuellement mis en place. Il consulte aussi les archives à la recherche de preuves démontrant que les procédés sont bien suivis dans le temps. Ce dernier point est un des plus important.

La fonction contrôle de gestion, audit

La fonction contrôle de gestion, audit assure la performance de Enterprises dans le respect des obligations légales et des procédures internes et participe au pilotage et à la prise de décision.

La fonction contrôle de gestion, audit prend en charge le contrôle des procédures de gestion de l’entreprise et aide à l’amélioration de l’organisation existante.
Deux familles de métiers sont représentées :
Les contrôleurs de gestion qui garantissent la bonne gestion de l’entreprise.
Cette fonction est présente dans tous les secteurs d’activité où la maîtrise des coûts est stratégique (notamment dans l’industrie et les services) quelle que soit la taille de l’entreprise (groupe, filiale, PME… ). Dans les grands groupes, elle est répartie en services dédiés (contrôle budgétaire, financier, social, etc. ). Dans les PME-PMI, elle peut être occupée par un cadre en charge des tâches de gestion administrative. A noter que cette fonction est également présente dans les administrations et les collectivités territoriales.
Rattachés à la direction générale, à la direction du contrôle de gestion ou à la direction administrative et financière, les contrôleurs et assistants contrôleur de gestion ont des domaines d’intervention variés qui peuvent couvrir la gestion commerciale, le marketing, la production, les services et l’ensemble des fonctions support (l’informatique, les finances, les ressources humaines, la logistique… ).
Leurs missions principales consistent à :
  • mesurer, contrôler et prévoir les résultats opérationnels de l’entreprise (indicateur de gestion, contrôle des risques financiers et écarts avec les prévisions),
  • harmoniser les procédures comptables et financières dans l’entreprise et superviser la clôture des comptes,
  • assurer le reporting des résultats au comité de direction (analyses mensuelles, réalisation d’études économiques et financières, synthèses d’activité, etc. ),
  • appuyer les opérationnels dans le cadre d’analyse, assurer la performance de l’activité économique et des instruments de pilotage (système d’information, tableaux de bord, etc. ),
  • conseiller les décideurs (direction générale, chefs de services, managers) lors de prise de décision pour calculer le coût financier, évaluer les risques, proposer des alternatives.
Les auditeurs qui veillent à la conformité légale et à l’optimisation des processus liés à l’activité économique de l’entreprise.
Ils interviennent dans le cadre de missions ponctuelles (audit légal, contractuel, contrôle interne, risk management, etc. ). Les principaux employeurs sont en général les cabinets d’audit ou les sociétés de conseil (audit externe), mais également les grands groupes (audit interne).
Seuls ou en équipe, ils sont rattachés à la direction générale, la direction de l’audit dans les grands groupes, ou à un directeur de mission dans le monde du conseil.
Ils ont pour missions de :
  • de diagnostiquer les dysfonctionnements dans les procédures de gestion, d’organisation ou dans les méthodes de travail (contrôle de la fiabilité de l’information financière, qualité des process, contrôle des comptes, mesure des risques légaux et réglementaires, etc. )
  • d’apporter des recommandations au commanditaire (la direction générale) en matière d’améliorations ou de réajustements à effectuer au regard d’impératifs réglementaires ou de performances.
Parmi les principaux métiers, on peut citer l’auditeur interne, l’auditeur externe et l’auditeur junior.